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Les réseaux sociaux pour la masse, le Fediverse pour les perdants ?
Et moi qui suis nulle part sauf sur mon radeau ? đ€đ
The evidence is convincing: The betting industry is ruining lives.
Entre pertes Ă©conomiques et humaines, l'industrie des jeux de paris n'aurait jamais dĂ» ĂȘtre lĂ©galisĂ©e.
J'ai plusieurs fois dĂ» refuser des offres d'emploi dans ce secteur que je refuse ethniquement de soutenir.
La culture et le partage privé ? Pas bien.
Le vol légalisé par les big tech pour générer du fric, détruire la planÚte et sans retour aux auteurs? Apparemment normal...
Les technophiles ont un énorme atout, et une belle carte à jouer pour changer le monde en mieux, à savoir davantage de technologies orientées social et humain.
Ou bien on peut continuer à pondre des apps inutiles et pas révolutionnaires mais qui plairont aux investisseurs habituels.
Ăvoquer les dossiers climatiques ou agricoles conduit immanquablement l'impertinent·e Ă subir persiflages ou haussement d'Ă©paules.
L'Ă©cologie vue comme une mode ou pire, une maladie... đ€
Les grandes marques et lobbies se foutent de votre gueule et de votre santé.
Le poids de lâaustĂ©ritĂ© nâest pas supportĂ© par la classe politique, comme Milei lâavait promis, mais par les travailleurs du pays â quâils soient salariĂ©s ou chĂŽmeurs â et par la classe moyenne. Si on lui laisse le champ libre, la classe capitaliste montre que son programme consiste simplement Ă extraire au maximum la richesse de la classe productrice.
Cela ne nous surprend pas. Les anarchistes avaient mis en garde dĂšs le dĂ©but contre ce piĂšge, criant Ă qui voulait lâentendre que ce nâĂ©tait pas une coĂŻncidence si tous les oligarques dâArgentine sâunissaient derriĂšre ce soi-disant « rebelle ». Le rĂȘve Ă©ternel des capitalistes est de dĂ©pouiller lâĂtat de tous les Ă©lĂ©ments qui ne leur permettent pas dâaccumuler des richesses, de maximiser leurs profits en nous ramenant aux conditions de vie de la fin du XIXe siĂšcle.
Leur rĂȘve est notre cauchemar. De plus en plus de secteurs de la sociĂ©tĂ© sâen rendent compte en en faisant lâexpĂ©rience. Prix europĂ©ens, salaires africains, conditions de travail dâ Asie du Sud-Est.
VoilĂ un aperçu d'une politique d'extrĂȘme droite en Argentine.
En un mot leur idée de la société c'est "Soyez riches ou crevez."
Câest un des hĂ©ritages de la crise Covid qui pose le plus de problĂšmes : les banques ont fortement rĂ©duit le nombre de guichets, causant beaucoup de frustrations chez la clientĂšle surtout ĂągĂ©e qui ne trouve plus d'interlocuteurs pour les problĂšmes les plus courants, sinon aprĂšs des heures d'attente au tĂ©lĂ©phone.
AprĂšs la crise Covid, il Ă©tait temps de faire marche arriĂšre.... Surtout pour Belfius qui appartient Ă l'Ă©tat et dont je suis client :-) ...
Il va sans dire que Belfius qui vante son ouverture de guichets, c'est du foutage de gueule. On est dans une société d'interactions entre individus, c'était aberrant de fermer les guichets.
C'est juste normal de les ouvrir en fait, les clients paient assez de frais pour ça.
Et le contact humain rĂšgle Ă©galement de nombreux problĂšmes courants.
Nous en informatique on ne se rend pas toujours compte de l'importance de ce contact humain car nous sommes privilégiés par notre métier... On peut communiquer facilement sans se voir, on peut travailler en autonomie pour beaucoup de tùches, sinon les automatiser. Il y a énormément d'outils pour nous aider. Le contact humain n'est pas quotidiennement nécessaire. Mais il reste important et malheureusement négligé dans ce milieu par beaucoup de collÚgues.
C'est une vue trĂšs court terme.
Les transformations le long du canal à Bruxelles, mais aussi de Bruxelles en général.
Bruxelles est une ville que j'adore par ses richesses culturelles, sa mixité, mais c'est également une ville trÚs bordélique, avec beaucoup de transformations par forcément cohérentes et aux plannings pas toujours alignés. Mais il y a une volonté d'aller vers un mieux.
Les changements et améliorations sont réguliÚres mais lentes. Il faut dire ce n'est pas évident de transformer une ville avec autant de communautés, frontiÚres, et zones sous responsabilités multiples qui entrainent des discussions de budget interminables...
Bruxelles reste une ville trÚs éprouvante en tant que cycliste bien que la situation se soit améliorée avec le temps.
« Il faut toujours lutter pour des trucs banals auxquels nous avons droit⊠Mais je ne veux pas que ça recommence. »
L'Ă©ducation, si Ă©galitaire et inclusive ?
Quand mes flux RSS m'affolent xD
Clip tiré d'un excellent film.
"Face Ă une civilisation qui efface les Ă©toiles, il est essentiel de rĂȘver et de crĂ©er de nouvelles façons de vivre, en harmonie plutĂŽt qu'en opposition avec le monde naturel."
Dans les crises, les sociétés semblent toujours aussi incapables de remplir leur devoir premier de veiller sur les leurs et d'anticiper les catastrophes.
On l'a vu avec la Covid, et d'autres catastrophes climatiques, avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2014, ...
L'industrie animale hyper polluante essaie de pousser à l'utilisation du PRG, une nouvelle unité de mesure des émissions de méthane. S'ils réussissent, cela leur permettrait de cacher leur véritable impact dans le réchauffement climatique et d'éviter de prendre toute responsabilité ou d'entamer toute transition écologique qui s'impose.
C'est puéril.
Violences urbaines, islamisme⊠Le modĂšle français dâintĂ©gration ne semble pas non plus rĂ©ussir Ă faire face Ă toutes les transformations de la sociĂ©tĂ©. Dans quelle mesure peut-on comparer les deux systĂšmes politiques ?
Fondamentalement les mĂȘmes problĂšmes se posent dans les deux pays. Il sâagit de faire participer Ă la vie collective des populations Ă©trangĂšres aux traditions nationales, qui, de plus, viennent de lâancien empire colonial et en gardent du ressentiment, et dont certains membres continuent Ă ĂȘtre manipulĂ©es par les pays dâorigines.
Les grands événements sont créés par des minorités
Lâattentat islamiste de Londres en 2005 avait dĂ©jĂ montrĂ© que la politique multiculturelle ne suffisait pas Ă rĂ©gler la question de lâintĂ©gration. Le responsable Ă©tait anglo-pakistanais, nĂ© en Angleterre, de nationalitĂ© britannique. Mais au quotidien, il nâavait jamais Ă©changĂ© quâavec dâautres Anglo-Pakistanais, sans relation avec le reste de la population britannique.
Les absences, de communication, intégration, échanges entre communautés et individus, font le jeu de la violence, dans une société, tout comme dans un groupe ou a sein des familles si on y regarde à plus petite échelle. Absences, distances, évitement, négligence, rejet, y a plusieurs formes qui nourrissent ces incompréhensions, méfiances et violences entre cultures, groupes, familles... C'est ces jeux là qu'il faut casser si on espÚre vraiment la paix.
On demande aux gens de faire des efforts mais les entreprises les plus polluantes poursuivent sans reproches a transformation de la planĂšte en Ă©norme poubelle, et en laissant le soin Ă d'autres (vous et moi) de nettoyer derriĂšre.